Un immense merci à Monsieur le Maire pour son aimable invitation au marché de Noël de Villeneuve-la-Lionne. Entre super bénévoles, exposants charmants et parfums de vin chaud, l’atmosphère avait ce quelque chose de tendre et de lumineux qui réchauffe les heures d’hiver. De 10 h à 18 h, j’ai eu la joie de présenter mon drame social fantastique La demeure des oubliés, ainsi que les deux premiers tomes du Chant des prophéties. Une parenthèse enchantée, faite de rencontres, de sourires et de mots partagés — merci à toutes et tous d’avoir contribué à cette journée si inspirante.
Une journée super sympa en compagnie des organisateurs et des associations présentes. J’ai pu revoir des personnes croisées à Esternay, auteurs ou lecteurs. Ambiance conviviale assurée, j’ai eu l’impression d’être à une fête de village où tout le monde se connait mais où personne ne m’a laissée de côté !
Aëlys voyage à travers le nord du pays en tant que guérisseuse au sein d’une troupe de troubadours, cherchant à atteindre Port-Gadmir, où elle espère embarquer pour les énigmatiques Terres-Bleues, attirée par des appels mystérieux qu’elle ne peut ignorer. En chemin, elle découvre une troublante prophétie liant étroitement son destin à celui d’un enfant qu’elle doit retrouver. Pour la première fois, Aëlys se retrouve seule sur les routes, mais elle peut compter sur la Mémoire Ancestrale pour la guider. D’autres esprits ésotériques croiseront également son chemin, prêts à l’aider dans sa quête, tandis que des forces obscures se mettent en mouvement.
Aëlys semble être une jeune fille comme les autres, vivant dans une modeste mansarde avec sa mère et s’acquittant consciencieusement de ses tâches quotidiennes. Elle trouve du réconfort et des moments de bonheur simples avec sa meilleure amie lors des bals animés du Bourg. Mais sous cette apparente normalité, Aëlys cache un secret qui la distingue profondément : depuis sa plus tendre enfance, elle possède des dons divinatoires et la capacité de communiquer avec les miroirs. Alors qu’elle approche de l’âge adulte, et que ses fiançailles se profilent à l’horizon, ces pouvoirs qu’elle tente désespérément de réprimer commencent à croître, menaçant de bouleverser sa vie et de révéler sa véritable nature.
Janvier 2003, une petite ville dans le sud de la France. Benoît et Mathilde, à peine majeurs et sans domicile fixe, se retrouvent hébergés en maison-relais par la mairie. Mais la bâtisse est vieille, de nombreux événements étranges s’y déroulent. Entre faits paranormaux et crise sociale, le couple va rester cinq mois dans cet ancien squat. Là, les jeunes gens s’adonneront à des activités illicites pour leur survie.
Avertissement : contient des scènes explicites de vente et de consommation de stupéfiants.
Diffuseur : Amazon Sortie : le 17 juin 2024 181 pages
Ebook : 5,99 € Broché à la demande : 9,99 € Frais d’envoi : 3 €
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Je ferai donc partie de la quarantaine d’auteurs invités : romans, BD, albums jeunesse, documentaires, auteurs locaux, stands librairie et animations pour enfants seront au programme. De quoi ravir les plus grands comme les plus petits !
Cet événement — planifié conjointement par la ville, le foyer rural et la médiathèque — est prévu chaque mois d’octobre depuis 2011.
Patrice Valentin, maire de la commune, précise son intention dans L’Union du 1er octobre 2025 : « L’esprit de cette fête, c’est avant tout la convivialité et le partage. »
Je suis impatiente de retrouver les organisateurs et les bénévoles. J’ai également hâte de rencontrer d’autres auteurs, de discuter, d’échanger et d’apprendre. Mais aussi de découvrir mon nom sur la table qui me sera attitrée, d’y étendre ma nappe et de disposer ma décoration avant de mettre en place mes exemplaires.
Pour cette 14e édition, je présenterai les deux premiers tomes de la trilogie Aëlys, le chant des prophéties : L’éveil d’une indocile et L’appel des Terres-Bleues – beaucoup plus sereinement qu’en octobre dernier ! (Pour ma défense, il s’agissait de mon premier événement, et je suis plutôt anxieuse de nature.)
Et si vous veniez faire un petit tour dans la Marne pour venir à ma rencontre ?
Retour sur cette superbe journée
Ce matin, j’étais présente à la Maison du Temps Libre aux alentours de 9 h 30 pour retrouver les charmants organisateurs et bénévoles qui s’étaient si bien occupés de moi lors de la 13e édition.
Avec mes voisines de table
Plusieurs personnes se sont arrêtées à mon stand, attirées par la décoration qui donnait une idée de l’ambiance médiévale de ma fantasy. Certaines se sont laissées séduire par l’histoire d’Aëlys. Quelques cartes du royaume de Caren et de la région des Terres-Bleues ont su attirer l’attention de visiteurs. Ces cartes que j’avais difficilement conçues moi-même sans aucun talent de graphiste, et dont je suis plutôt fière.
Mon expérience lors des Médiévales de Provins m’ayant permis de parler de mes livres, j’étais bien plus confiante que l’an dernier ! Ainsi, j’ai pu discuter librement de ce pays imaginaire né un beau matin de juin 2019. J’étais tout à fait ravie d’emmener les curieux dans le monde d’Aëlys, leur parler de ses dons, de ses appréhensions et de sa rencontre avec elle-même. On m’a posé des questions auxquelles j’ai répondu sans timidité, enchantée de partager un peu de mon univers fantastique.
J’ai par là même retrouvé mes consœurs, mes voisines de table l’an passé, et de nouveau cette année.
Pour résumer, j’ai de nouveau passé une journée en très bonne compagnie. Des autrices avec qui j’ai pu prendre le temps de discuter, de rire, et de qui j’ai encore reçu des conseils.
À présent ? Eh bien, j’ai déjà hâte de revenir pour la 15e édition !
Le syndrome de la page blanche, aussi désigné par le terme de leucosélidophobie, est un trouble psychique de l’écrivain se présentant comme l’impossibilité de commencer ou de continuer une œuvre.
Le syndrome de la page blanche s’exprime différemment d’une personne à l’autre. En voici globalement les symptômes :
Impression de ne pas avoir d’idées
Ne pas savoir par où commencer / continuer
Peur de mal faire
Doute voire manque / perte de confiance
Procrastination
Anxiété
Blocage
Comparaison avec les autres
Frustration
Certains matins, j’ouvre mon traitement de texte et reste de longues minutes devant, sans savoir quoi écrire. Impossible de sortir le moindre mot.
Alors je relis le chapitre précédent et je me mets ma compilation spéciale pour me « remettre dans l’ambiance ». Parfois, ça fonctionne. Parfois, pas du tout… Alors je ferme mon PC, dépitée, en me disant que j’y reviendrai en même temps que les idées.
Retour d’expérience en 9 astuces faciles à mettre en œuvre.
9 conseils
Préparer un espace de travail
Sur votre fauteuil, installé.e à votre bureau devant l’écran, assis.e sur le canapé en travaillant sur la table basse, sur le mange-debout de la cuisine, dans le lit avec votre ordinateur portable sur les genoux, dans un café… Peu importe !
(Bon, les kinés ne me remercieront pas pour l’idée de la table basse… C’est vrai que pour travailler de longues heures, votre dos souffrira moins devant une table sur un siège adapté que si vous êtes pliés en deux sur votre banquette !)
Vous aurez besoin d’un espace rien qu’à vous, celui où vous vous sentez le mieux pour tapoter sur votre clavier. Essayez d’écrire toujours au même endroit, le cerveau aime bien les routines rassurantes. Pour certains, il est plus agréable de travailler dans un espace propre et rangé, mais si vous aimez votre fouillis organisé et que vous vous y retrouvez… Après tout, chacun sa personnalité, et donc sa façon de faire !
S’instaurer une routine
Bien que ça puisse vous aussi vous paraître légèrement hors sujet, il faut vous instaurer une routine de travail. Tôt le matin, l’après-midi, tard dans la nuit. Trouvez LE moment où vous êtes le plus dispos et concentré. (Personnellement, j’aime bien mettre le réveil à 5 H et commencer à travailler avant le lever du jour.)
Prendre des notes
Ensuite, je vous dirais de prendre des notes absolument tout le temps ! Vous avez une idée ? Écrivez-la sur le champ ! Cela va véritablement vous aider quand vous aurez une panne d’inspiration.
Faire un plan
Dresser la structure de votre roman, mémoire, article ou autre production peut réveiller votre inspiration. Notez le titre, les sous-titres, les grands axes, quelques idées.
Prendre des pauses
Sachez prendre une pause : aérez-vous l’esprit, pensez à autre chose. Éteignez votre ordi et allez marcher 10 minutes ou écoutez une musique douce en savourant un bon thé bien chaud. Lisez un chapitre du livre que vous emportez partout. Bref : un vrai break s’impose régulièrement pour garder en productivité.
La perfection n’existe pas
Acceptez de ne pas être parfait ! Le perfectionnisme va vous plonger dans la frustration si vous ne parvenez pas aux résultats que vous visez. Et rappelez-vous qu’un premier jet ne peut jamais être parfait.
Pas d’objectifs irréalisables ou indéfinis
Ne vous fixez pas d’objectifs irréalisables ou non spécifié ! Rappelez-vous les objectifs SMART :
S : Spécifiques M : Mesurables A : Atteignables R : Réalistes T : Temporels
Exemple : « Je dois finir cet article » ❌ « Je vais d’abord vérifier mes informations cette semaine avant de rédiger ma pige pour la rendre le 15 mai. » ✅
Faire des recherches
Il n’est nul besoin d’écrire un livre historique pour faire des recherches !
Pour vous donner un petit exemple : lorsque j’écris une nouvelle et que je préparer ma fiche, je jette un œil sur Google Street, pour mieux visualiser le quartier dans lequel vit mon personnage.
Coupez-vous des distractions.
Mettez votre portable en mode avion, éteignez votre Wi-Fi et les notifications.
Conclusion
L’angoisse de la page blanche n’est donc pas un problème irrémédiable ! C’est vrai : cela demande de la discipline au départ. Puis on se fait à ce nouveau rythme de travail. Vous verrez, vous gagnerez en productivité.
Vous êtes artiste ou rédacteur ? Quelles sont vos techniques pour lutter contre cette satanée page blanche ?
Il y a six ans, je commençais la rédaction de ce qui allait devenir mon premier roman.
Inspirée par le festival du week-end qui venait de s’écouler, j’écrivais les premières lignes du « Chant des prophéties ». Je ne pensais pas que ce premier paragraphe mènerait à une trilogie. Je n’imaginais donc pas me trouver un jour dans la superbe Collégiale Saint-Quiriace, qui m’avait fait rêver la veille, pour y exposer MES livres.
Et pourtant.
Pour les 40 ans des Médiévales de Provins, j’ai eu l’honneur de voir ma candidature retenue pour présenter Aëlys au public. Là, au milieu d’autres auteurs, illustrateurs, peintres ou vitraillistes talentueux, j’avais mon stand, une table, que je n’avais pas osé ambitionner. Il faut dire que j’avais « harcelé » la Direction des affaires culturelles dès le mois d’octobre 2024 !
Ce week-end du 14 et 15 juin 2025, j’ai enfilé ma robe, ma coiffe de paysanne et mon petit bracelet d’accès en papier bleu pour me rendre en ville haute, lieu vers lequel convergeait toute l’effervescence. Attirant comme chaque année près de 100 000 visiteurs, la cité douce et calme que je connais s’est métamorphosée sous un soleil brûlant dès le petit matin.
Un marché, décoré comme autrefois et d’une grande diversité, proposait des bijoux, des friandises, des boucliers ou armes factices dignes d’un film d’époque, de magnifiques costumes et des créations de petits — ou grands — objets de décoration façonnés avec passion.
Forge, poterie, verre soufflé, hydromels, thés, encens, épices ou biscuits aux saveurs d’autrefois… Un formidable panel de saveurs et de métiers pour certains oubliés.
Sous les fanions bigarrés, la place offrait un véritable voyage temporel. J’ai pu assister à une démonstration de troubadours, à des défilés, et goûter au café ainsi qu’au chaleureux accueil des « taverniers » présents. Des personnes magnifiquement vêtues et maquillées paradaient. Des enfants riaient et s’émerveillaient des animations d’antan…
Durant ces deux journées inoubliables, j’ai eu la chance de rencontrer nombre de gens de divers horizons. Des gens qui ont pris le temps de discuter un peu avec moi pour en savoir un peu plus sur le royaume de Caren et le destin de ma protagoniste.
J’ai même eu l’immense joie de rencontrer une jolie petite fille portant le même prénom que mon héroïne !
Ce fut aussi l’occasion de revoir mon ancienne voisine de table, rencontrée à la fête du livre d’Esternay : Héloïse P. Latour, romancière, illustratrice et scénariste. (Vous savez : l’une des fameuses et adorables voisines m’ayant donné plein de conseils lors de mon premier événement !)
Pour résumer ?
Un week-end tout simplement magique, et je me permets déjà d’imaginer le tome 3 sur ma table l’an prochain.
Maintenant, il est temps pour moi de me replonger dans le dernier volet des aventures d’Aëlys : « La prophétie de l’enfant ».
Si l’idée de plonger dans un Moyen Âge fantastique vous tente, laissez-vous emporter par la saga Aëlys, Le Chant des Prophéties !
Dans cet univers riche et mystérieux, où magie et aventures se mêlent aux traditions anciennes, suivez les pas de personnages hors du commun qui luttent pour accomplir leur destinée.
C’est avec un immense plaisir que je vous annonce ma prochaine rencontre avec Maril, la gérante passionnée de la boutique de bijoux fantaisie J’M Création, un lieu charmant et inspirant au cœur de la ville. Maril m’a invitée à organiser une séance de dédicaces, un moment d’échange et de partage, pour vous faire découvrir plus en profondeur les premières pages de Aëlys, Le Chant des Prophéties.
Je serai donc présente en costume médiéval, pour vous accueillir dans l’atmosphère envoûtante de cet univers magique. Vous pourrez y découvrir les deux premiers tomes de cette trilogie fascinante : L’Éveil d’une indocile et L’Appel des Terres-Bleues, des récits où mystère, aventure et passion se croisent.
J’ai hâte de vous retrouver pour cette rencontre unique, de partager avec vous mon univers et de discuter des aventures de mes héros. Venez nombreux, l’aventure commence ici !
17 mai 2025, de 10 h 30 à 18 h J’M CREATIONS 19 rue Hugues le Grand 77160 PROVINS
Journée très agréable passée en compagnie de Maril, à la boutique J’M Créations – où je vous invite à faire un tour si vous êtes dans le coin.
Merci encore pour cette merveilleuse opportunité !
Un grand merci également à Monsieur le Maire de Provins, Olivier Lavenka, qui, malgré un emploi du temps chargé, a pu trouver quelques instants pour venir à ma rencontre.
