Article sur « La Demeure des oubliés »

📣 Événement !
Le lundi 26 août 2024 et toute la semaine, retrouvez un article sur La Demeure des oubliés dans La République de Seine-et-Marne 🗞️ !
Un grand merci à Cécile Hautecœur pour cet espace qui me fait chaud au cœur 🤩

Petite précision : cette novella est sortie en autoédition — une aventure 100 % indépendante !

(🔞 Public averti : à partir de 18 ans 🔞)

Provins : Mélissa Perrot-Marquez publie son deuxième roman, entre paranormal et problème de société

Depuis toute petite, sa passion, c’est l’écriture. Mélissa Perrot-Marquez vient ainsi de publier son deuxième roman : La demeure des oubliés, entre paranormal et récit sociétal.

Mélissa Perrot-Marquez, habitante de Provins, vient de publier son deuxième roman en autoédition : La demeure des oubliés. Elle y explore la précarité d’un jeune couple et met en scène, en parallèle, des événements paranormaux qui se déroulent dans la sinistre maison où ils trouvent abri.

« Mon premier roman, Aëlys, l’éveil d’une indocile, est clairement inspiré du patrimoine médiéval de la ville de Provins. Après avoir participé aux Médiévales, je l’ai écrit en deux mois. Une suite est d’ailleurs écrite », explique l’autrice.

« Dénoncer le mépris envers les personnes en situation précaire »

Pour ce nouveau roman, elle est allée explorer d’autres pistes en racontant l’histoire de Mathilde et Benoît, un couple de jeunes majeurs, avec un récent passé de sans-abri. Leur combat pour la survie va passer par des étapes complexes.

« J’y aborde le thème des jeunes, de la drogue, de la difficulté à se loger, voire de l’indifférence de la société qui parfois pousse à faire des choses illégales », complète Mélissa Perrot-Marquez.

Il existe aussi toute une dimension fantastique qui parsème cette histoire d’événements paranormaux, car chaque nuit, la rationalité et la patience des jeunes gens sont mises à rude épreuve. Avec ce livre, l’autrice souhaite montrer la fragilité de ses personnages ainsi que leur force de caractère pour endurer ces épreuves.

« J’avais également à cœur de dénoncer l’invisibilité ou le mépris dont sont victimes les personnes en situation précaire. L’aspect fantastique me permet d’ajouter une touche inquiétante, illustration de la peur du lendemain et de l’impossibilité de trouver un logement décent lorsqu’on est sans emploi », conclut-elle.

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